#égalité femmes-hommes
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Salaire : bientôt plus de secrets !
Transparence salariale : bientôt la fin du flou chez votre employeur Vous êtes-vous déjà demandé si votre salaire était en ligne avec celui de vos collègues pour un poste similaire ? La réponse pourrait bientôt être à portée de main ! La directive européenne sur la transparence des salaires, qui entrera en vigueur en France en 2026, va bouleverser les pratiques en matière de rémunération. Fini…
#Égalité hommes-femmes#Directive européenne#Négociations salariales#Rémunération#Ressources humaines#Transparence salariale
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Sans rapport mais pourquoi les vieux sont verts de rage à cause du truc de mademoiselle là. A chaque fois que y'a qqn au delà des 50 ans qui m'appelle mademoiselle, direct suit le "ah mais de nos jours on a plus le droit de dire ça xptdr" okay bah le dis pas ? Garde ça pour toi papi, tu peux me dire ce que tu veux tant que c'est pas sur des document légaux, par contre si tu commences à basher un changement justifié et intéressant juste pcq ouhlàlà les féministes elles changent nos habitudes je tremble dans mes bottes, on va pas être copains.
#je préfère mademoiselle à madame franchement je sais pas si c'est la non-binarité ou la santé mental ou juste pcq c jouli mais bref jpréfère#MAIS#PAR CONTRE#ÉNORME WARNING#1. je suis un individu et ce que JE préfère (que t'as aucun moyen de deviner d'ailleurs) ne vaut que pour moi et pour aucun autre individu#2. c'est très con de vouloir papoter sympa avec une jeune en commençant par essentiellement AH J’ESPÈRE T'ES PAS FÉMINISTE MA COCOTTE#frère j'ai rien dit#par contre ce serait cool de capter que le but c'est pas de fliquer toute les conversations du quotidien#c'est de respecter les demandes des femmes et filles autour de soi#et aussi de systématiser (particulièrement administrativement) un respect de l'âge l'indépendance et la maturité à égalité avec les hommes#j'ai tellement envie de commencer à les faire chier et à insister sur madame à fond à chaque fois que ça m'arrive#broadcasting my misery#frenchposting
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"Le combat des femmes kurdes est universel", explique Nazand Begikhani
"Jin Jiyan Azadi est l'equivalent de la devise française Liberté Egalité Fraternité pour les Kurdes" explique Nazand Begikhani, prof à Sciences Po Paris et poétesse franco-kurde, qui participera à une conférence débat au festival Un week-end avec elles le 6 avril, de 9h30 à 13 heures, salle Arcé à Albi.
Webdoc sur le génocide yezidi en lien dans cette interview parue dans les pages régionales de la Dépêche du Midi le lundi 1er avril 2024.
#JinJiyanAzadi#FemmeVieLiberté#genocide kurde#genocide#genocide yézidi#kurdistan#kurdes#Yezidis#génocide#france#violencessexuelles#violences sexuelles#viols#femmes#égalité femmes hommes#égalité hommes femmes
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L'animateur Pascal Praud en thérapie pour assimiler l'égalité hommes-femmes
L'animateur Pascal Praud en thérapie pour assimiler l'égalité hommes-femmes https://infoscoop.fr/wp-content/uploads/lanimateur-pascal-praud-en-therapie-pour-assimiler-legalite-hommes-femmes-241.webp Pascal Praud, l'animateur de l'émission l'Heure des Pros sur C8, est en plein burn out après avoir découvert que les femmes sont les égales des hommes. Il suit une thérapie pour assimiler cette nouvelle réalité et vaincre ses difficultés de communication avec la gente féminine. #BurnOut, #ÉgalitéHommesFemmes, #PascalPraud, #TâchesMénagères, #Thérapie https://infoscoop.fr/informations/people/lanimateur-pascal-praud-en-therapie-pour-assimiler-legalite-hommes-femmes/
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Égalité femmes-hommes dans l’espace francophone
L’égalité entre les femmes et les hommes : un principe pour la Francophonie ; une priorité du développement durable pour un monde plus juste. L’Université Senghor à Alexandrie, en partenariat avec le Comité québécois Femmes et développement (CQFD) de l’Association québécoise des organismes de coopération internationale (AQOCI) ont réalisé, avec la collaboration de plusieurs expertes et experts…
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Samuel Fitoussi : «Et si la France était un matriarcat où règne le privilège féminin ?»
avait déjà écrit l'article le plus marrant du "bêtisier du wokisme" dans la Revue des deux mondes de cet été ("les 100 jours de Sandrine Rousseau"), brillant ! Ce garçon, âgé seulement de 26 ans, ira loin.
Les 100 jours de Sandrine Rousseau in extenso sur La Gazette
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Dominique Forma - La faute de ...
La traductrice Quel conteur merveilleux, ce Dominique Forma ! La faute de la traductrice a été dévorée en quelques heures, des heures de régal livresque pur et de délectation si agréable. Car, Dominique Forma nous présente une de nos sœurs, un peu notre aînée, plongée dans un univers qui ne l’attend pas et qu’elle n’est pas préparée à affronter. Le 3 mars 1959, à 22 ans, Solange Tailleraut…
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#&039;égalité des hommes et des femmes#Amérique#Amérique du Sud#Billet littéraire#Chronique littéraire#Chronique livre#Chroniques littéraires#Condition de femmes#Droits des femmes#femmes#Littérature contemporaine#littérature française#Littérature francaise#Litterature contemporaine#Nazis#Nazisme#roman#Thriller
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À chaque instant, n'oubliez pas de lui rappeler qui est aux commandes
Les femmes qui dominent: Une dynamique de pouvoir et de sanction
Depuis des siècles, les relations de pouvoir ont évolué, oscillant entre des dominations variées. Longtemps, les femmes ont été sous-représentées, voire marginalisées, dans de nombreux aspects de la société. Mais, dans certains milieux et contextes, le vent a changé de direction. Des femmes audacieuses ont pris le contrôle, rappelant à chaque instant aux hommes qui est vraiment aux commandes.
Chaque regard, chaque geste, chaque mot prononcé par ces femmes est un rappel constant de leur position dominante. Et dans cette dynamique, le pouvoir de sanction devient également apparent. Elles n'hésitent pas à punir, à rectifier, à redéfinir les limites lorsque celles-ci sont transgressées. Ces sanctions peuvent être subtiles ou explicites, mais elles servent toujours à réaffirmer leur position de force.
Ces femmes ne cherchent pas nécessairement à écraser ou à diminuer les hommes, mais plutôt à définir clairement les règles du jeu. Leur autorité ne s'exprime pas uniquement à travers des récompenses, mais aussi à travers des corrections lorsque la situation l'exige.
L'image traditionnelle de la femme douce et soumise est bouleversée par ces femmes puissantes qui ne demandent la permission à personne. Elles sont des dirigeantes, des innovatrices, des meneuses. Dans le monde des affaires, des arts, de la politique, et même dans la vie quotidienne, elles se positionnent comme des leaders, non pas parce qu’elles veulent prouver quelque chose, mais parce qu'elles le méritent.
Et le plus fascinant dans cette dynamique, c'est l'adaptabilité des hommes qui entrent dans leur orbite. Nombre d'entre eux reconnaissent et respectent cette autorité, acceptant même les sanctions comme un moyen d'apprentissage et de croissance. Ils comprennent que suivre une femme puissante ne diminue en rien leur propre valeur. Au contraire, cela peut être une source d'enrichissement personnel et professionnel.
Cela dit, tout comme il est essentiel de célébrer ces femmes fortes, il est tout aussi crucial de reconnaître que chaque individu, homme ou femme, a sa propre force et sa propre dynamique. La vraie puissance réside dans l'équilibre, l'harmonie et la compréhension mutuelle.
Les femmes dominantes, avec leur assurance, leur détermination, et leur capacité à punir, ne sont pas une menace, mais plutôt un symbole du progrès de la société vers une égalité des genres. À chaque moment, elles rappellent aux hommes leur place, non pas par arrogance, mais par le désir d'une collaboration harmonieuse où chaque individu connaît sa valeur.
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Vous allez automatiquement vivre l'une où l'autre situation suivante pour 2025 qui est enfin arrivé !
1. Être au bout du rouleau : Situation très peu confortable, surtout quand on est aux toilettes.
2. Meta : Le seul endroit où tu parles à un mur sans être ridicule.
3. GPS : Seule femme que les hommes écoutent pour trouver leur chemin.
4. Autobus : Véhicule qui roule deux fois plus vite quand on court après que quand on est assis dedans.
5. Taser : Instrument utilisé afin de mieux faire passer le courant entre la police et la jeunesse.
6. Mozart : Célèbre compositeur que l'on écoute le plus souvent dans les pizzerias car on sent bien que mozzarella.
7. Sudoku : Qui a le nord en face.
8. Porte-clefs : Invention très pratique qui permet de perdre toutes ses clefs d'un coup au lieu de les perdre une par une.
9. État : Système mafieux le mieux organisé de tous les temps.
10. Cravate : Accessoire servant à indiquer la direction du cerveau de l'homme.
11. Voiture : Invention ingénieuse, permettant de contenir 110 chevaux dans le moteur et un âne au volant.
12. Orteil : Appendice servant à détecter les coins de portes.
13. Égalité des sexes : Nouveau concept créé par les hommes pour ne plus payer le restaurant.
14. Monter un meuble Ikea : Expression moderne signifiant “passer un week-end de merde”.
15. Suppositoire : Invention qui restera dans les annales.
16. Les ex : C'est comme la prison, si tu y retournes c'est que tu n'as pas compris la leçon.
17. La beauté intérieure : Concept inventé par les moches pour pouvoir se reproduire.
18. Pruneau : Synonyme de personne âgée. Qui est ridé et qui fait chier.
19. Aides internationales : Aides payées par les pauvres des pays riches pour aider les riches des pays pauvres.
20. Pharmacie : Confiserie pour vieux.
21. Blonde : Concept pour faire croire que les autres femmes sont intelligentes.
22. Un meurtre de sang froid : Un ice crime
23. Archipel : Outil pour creuser des archi trous.
24. Cellulite : Couche graisseuse qui enveloppe souvent les femmes mais emballe rarement les hommes.
25. Les ciseaux à bois : Les chiens aussi.
26. Femme : C'est comme le café, au début ça excite mais rapidement ça énerve.
27. Carte de crédit : Viagra féminin.
28. Masochisme : Concept proche de la politesse : frapper avant d'entrer.
29. L'amour : C'est comme un jeu de cartes, si tu n'as pas un bon partenaire, il vaut mieux avoir une bonne main.
30. Femme facile : Femme ayant les mêmes besoins sexuels qu'un homme.
31. Homme riche : Celui qui gagne plus d'argent que ce que sa femme n'en dépense.
32. Grand amour : Expression datant du 15ème siècle, lorsque l'espérance de vie était de 35 ans.
De tout coeur avec toi
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28. Il reste des batailles à mener
Notre société est un no man's land en régression : pauvreté, LGBT, racisme, égalité homme-femme, écologie...Il reste des batailles à mener, en fer de lance de l'éducation qui se transforme en bouillie d'enfants rois. Nous ne sommes qu'un petit bout d'infanterie, de chair à canon qu'on envoie au front sans réellement savoir le fond de la cause défendue et déjà perdue à notre échelle minuscule. Les puissants commandent, nous ne sommes que les exécutants. C'est bien de se gargariser de belles idées, de révolutions multicolores, mais rien ne semble ébranler le rocher de Polyphème bloquant la seule issue. Voter blanc, bleu ou rouge, la couleur paraît illusoire. Toujours la même rengaine rabâchée au pied levé. Regarder d'un œil dépité le jeu des trônes musicaux et vacants. Une nouvelle tête sort son épingle et vient décapiter les autres. Avec des espoirs étouffants. Il faudrait un tank et défoncer toute cette gloire républicaine qui chante ses propres louanges.
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Le genre des mots...
On finit par s'habituer à tout, au fond. Et peut être même plus facilement aux mauvaises choses qu'aux bonnes. Je pensais à ça l'autre jour, devant ma télévision –que je regarde très rarement, dégoûté de ce qui s'y raconte, même s'il m'arrive parfois, depuis que mes soirées sont solitaires hélas, de commettre ce péché contre le bon goût-- en écoutant une discussion sans intérêt (je veux dire : normale, quoi, habituelle !) sur ''le genre''. Ce vocable pourtant ancien et clairement défini, s'est ratatiné dans l'esprit de la plupart des gens à une digression emmerdante sur le changement de sexe... ce qui est faux, bien sûr, comme tout le discours officiel.
Avant l'actuel plongeon vers la folie qui prétend servir de néo-référence à nos contemporains, il existait deux genres, en français : le masculin et le féminin. Contrairement à beaucoup d'autres langages, il n'existe pas de neutre, ou plus exactement, le genre ''neutre'' a disparu à l'usage, les mots jusque là neutres se déclinant selon le genre masculin (le plus souvent) ou le genre féminin, ce qui a servi de faux argument aux guerrières du féminisme pathologique pour oser affirmer une prétendue ''main mise du patriarcat'', triomphant mais pas moins criminel pour autant, sur l'histoire, les mœurs, la société et que sais-je encore.
En avons-nous entendu, des sornettes, sur ce sujet qui n'en est pas un ! (NDLR : nous parlions la semaine dernière des conséquences dramatiques qu'a eu chacune des soi-disant victoires d'un féminisme-de-combat qui ne peut, répétons-le en contemplant avec désespoir leur champ de ruines qui s'étend chaque jour, que déboucher sur des catastrophes irrattrapables et, in fine, mortelles pur toute société --cf notre édito ''Quand avons-nous perdu les pédales?'', du 6 mai 2024). Bref des criminels potentiels ont réussi à faire croire qu'il était concevable de franchir le Rubicon –quoiqu'il s'agisse plutôt du Léthé ou du Styx, dans ce cas-- et de changer de sexe (eux disent ''de genre'', mais c'est ''aussi pire'' !).
Pourquoi revenir sur ce sujet qui ne peut être que controversé ? Simplement parce qu'un quotidien ''généralement bien informé'' a titré il y a peu, à propos de l'Intelligence artificielle, sur une découverte récente de cet outil qui n'a pas fini de révolutionner nos vies jusque dans les moindres détails : ''Un algorithme a réussi à distinguer le cerveau des hommes de celui des femmes'', ce qui est une brèche énorme dans le mur de bobards que les relativistes avaient érigé pour protéger leurs élucubrations de toutes les réalités. Les résultats sont sans appel : en analysant des images IRM, l'algorithme a réussi a trouver, avec moins de 10 % d'erreurs, (qui vont très vite se trouver ramenés à épsilon %) s'il s'agissait d'un homme ou d'une femme.
La conclusion par les neuroscientifiques de Stanford de plusieurs études sur ce sujet (dans plusieurs pays) ''mène à penser que l'organisation et le fonctionnement des régions cérébrales étaient dramatiquement opposées selon le sexe biologique''. On précise que ''les régions'' concernées par ces études sont le Striatum (circuit de la récompense et de la motivation), le système limbique (qui contrôle l'attention, la mémoire et la régulation des émotions) et le ''mode par défaut''(qui ''gère'', lui, la rêverie, le ''mental'' et la conscience de soi)...
On est loin des élucubrations gauchistes dont nous rigolions la semaine dernière où un groupuscule de ''Gauchos'' se met d'accord avec lui-même pour affirmer que les gens de Gauche (donc : eux, au tout premier chef) sont plus intelligents que les gens de Droite. Aujourd'hui, au contraire, on est ''dans du lourd'' : comme le démontrent le bon sens (et nos 5 sens), l'Histoire, l'expérience et la simple observation du quotidien, la femme ne sera jamais ni ne peut être l'égale de l'homme pas plus que l'homme ne pourrait être l'égal de la femme, pour la simple raison que cela revient à rechercher des égalités impossibles entre une carpe et un lièvre ou entre un couscous-merguez et une armoire normande ! Et les absurdes divagations de nos faux intellectuels en mal de suicide collectif n'y feront rien.
Dans ce monde ivre d'une intelligence qu'il croit avoir conquise à travers la seule affirmation nietzschéenne que ''Dieu est mort et c'est nous qui l'avons tué'' (fausse, en plus , comme Nietzsche l'a écrit lui-même !), l'espèce de fondamentalisme idéologique iso-religieux qui a pris la suite de ''la Foi de nos Pères'' (NB : l'homme ne pouvant vivre sans référence à ''plus grand que lui'') présente une similitude avec les attitudes des anciens ''dévots ridicules'' : ils s'attachent à une (ou des) croyance(s) envers et contre tout, ''quoi qu'il en coûte''. Dans l'idéologie progressiste, une avancée vers ''le mieux'' est un dogme nécessairement vrai, même absurde. Par exemple, il est interdit de croire que le sexe biologique des gens pourrait avoir une influence sur leur comportement, qui ne serait déterminé que par un ''genre'' peu ou pas défini, la correspondance entre genre et sexe biologique n'étant qu'une construction sociale.
Et c'est là que nous retrouvons les chercheurs de l'Université de Stanford dont nous citions les travaux au début de cet éditorial : leurs conclusions sont sans appel. Je les cite : ''Nous disposons des preuves irréfutables de l'existence de différences sexuelles reproductibles et généralisables dans l'organisation fonctionnelle du cerveau humain. Les résultats attestent le rôle crucial du sexe en tant que déterminant biologique dans l'organisation et donc le fonctionnement du cerveau humain''.
Malheureusement pour nous (je veux dire : pour toute l'humanité), dans notre Occident à bout de souffle, une pulsion mortifère, inexplicable et injustifiable mais qui a l'air durable, semble avoir volé la place de l'ancienne pulsion ''Pro Vita'' pour la sauvegarde de l'espèce, donc la procréation et –disons-le-- la Vie. A sa place, nous sommes envahis par une sorte d'iso-religion qui ne saurait en être une, le mot ''religio'' décrivant ce qui rapproche, pas ce qui déchire, sépare et tue. Une des caractéristiques de cette pathologie mortelle est un désintérêt total pour toute vérité, surtout scientifiquement démontrée : la science, de nos jours, sert à imposer des idées aussi fausses que folles (exemple : la référence permanente de Macron, pendant ''le covid'', pour imposer des séries de mesures anti-scientifiques), pas à chercher à se rapprocher de la Vérité.
L'énorme choc que devrait entraîner chez les tenants d'idéologies indémontrables (et pour cause, elles n'ont jamais été corroborées par de véritables scientifiques), ne va sans doute être invoqué par aucun des pouvoirs en place. Il faudra bien chercher, un jour, d'où peut bien venir le désir de nos fausses élites de promouvoir, à l'exclusion de tout ce qui pourrait être bon pour l'humanité, des idées qui ne peuvent que la conduire vers son malheur (nous y sommes) et vers sa perte (c'est la prochaine étape, ''sauf si''... Mais je commence à ne plus y croire !).
H-Cl.
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Vous tous, jeunes gens, sincères, hommes et femmes, paysans, ouvriers, employés et soldats, vous comprendrez vos droits et vous viendrez avec nous ; vous viendrez travailler avec vos frères à préparer la révolution qui, abolissant tout esclavage, brisant toutes les chaînes, rompant les vieilles traditions et ouvrant à l’humanité entière de nouveaux horizons, viendra enfin établir dans les sociétés humaines, la vraie Égalité, la vraie Liberté ; le travail pour Tous, et pour tous la pleine jouissance de toutes les facultés ; la vie rationnelle, humanitaire et heureuse ! Nous sommes des millions d’hommes ; nous sommes si nombreux qu’à nous seuls nous formons la masse du peuple.
Piotr Alexeïevitch Kropotkin
Aux jeunes gens (1904)
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Sema Katkay, Française, Kurde et chef d'entreprise : une experte sur laquelle Rien K'Elles peut compter
Sema Katkay a 43 ans. Elle a créé son entreprise en région parisienne (dans le 95) il y a 14 ans. Elle est aussi trésorière générale de l'association Rien K' Elles. / Photo DR.
Qui es-tu ?
Je m’appelle Sema. J’ai 43 ans. Je suis directrice d’un cabinet d’expertise comptable qui s'appelle "La Référence expertise-comptable". Et j’habite en région parisienne avec mes deux filles de 14 et 16 ans.
5 mots pour te définir ?
Je suis rigoureuse, persévérante, courageuse, bienveillante… et parfois drôle.
De quel Kurdistan viens-tu ?
Je viens du Kurdistan du Baqur. Du Kurdistan de Turquie. De la ville de Kars exactement, qui est tout à l’Est, à la frontière de l’Arménie et de la Géorgie.
Est-ce que tu parles le Kurde ?
Oui, couramment. Je parle kurmandji, donc le Kurde principalement de Turquie et de la plupart des Kurdes.
Tu peux nous dire une phrase en kurde ?
Ez ji te pir hez dikim, tu jiyan î ; ça veut dire « Je t’aime beaucoup, tu es la vie ».
Quel est ton plat kurde préféré ?
C’est les sarma, donc les feuilles de vignes farcies. Cela peut être aussi des feuilles de chou blanc farci. J’aime les deux, surtout quand c’est ma mère qui les fait. C’est encore meilleur. En kurde, ça s’appelle sarma, je pense.
Est-ce que tu cuisines ?
Oui. J’adore cuisiner. J’aime bien mixer les cuisines turques, kurdes, françaises, et un peu italiennes.
Ta chanson kurde préférée ?
Quand j’écoute les chansons kurdes, j’ai des frissons. Les chansons nous représentent et reprennent notre histoire. Mais j’en ai deux préférées. Ez Kurdistanim, qui veut dire « Je suis le Kurdistan ». C'est d'Hozam Serhad.
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Vidéo YouTube d'Ez Kurdistanim, d'Hozam Serhad.
Et, Ay dilberê. C’est Aram Tigran qui la chante. C’est un chanteur Arménien.
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Vidéo YouTube de la chanson Ay dilberê, d'Aram Tigram.
Les deux chanteurs ont essayé à travers les paroles de montrer leur amour pour le Kurdistan. Et quand j’écoute les paroles, j’ai des frissons. J’adore.
Ton livre Kurde préféré ?
Hawara Dîcleyê, de Mehmed Uzun. Qui veut dire « Les cris de Dijlê ». Dijlê étant un des plus grands fleuves du Kurdistan, qui traverse la Turquie, l’Irak et la Syrie, et qui est plus connu sous le nom du Tigre de Mésopotamie.
Tu peux nous lire un passage ?
Oui, avec plaisir. Ce livre reprend beaucoup l’histoire du Kurdistan à travers des personnalités Kurdes, et souvent sous forme de poème. Donc, je vais vous lire juste une petite partie d’un poème…
Sema lit un extrait d'un poème de Mehmed Uzun. Capture vidéo @Sultane_Sultane, extraite par Carla, toutes les trois sont membres de l'association Rien K'Elles.
"Je suis Dijlê. La patience de 1000 ans, qui tient tête aux vents et à la tempête. Je résiste au feu et aux flammes, contre tous les souvenirs et les émotions, vivant. La résistance est ma force."
Voir l'intégralité de l'interview vidéo de Sema Katkay sur le site Instagram de @rien_k_elles.
Ton dernier voyage au Kurdistan ?
C’était en avril 2022, dans ma ville natale à Kars (écrit Qers, en kurde) connue pour sa station de ski Sarikamis et le fort de Kars. Dans mon village de Kizil Klise, j’ai été sur la tombe de mon père décédé trois ans avant. Kizil Klise veut dire l’Eglise rouge, car c’était un village habité par des Arméniens à une époque. Donc, on a beaucoup d’églises ou de monuments catholiques. Je suis née dans les montagnes et je suis arrivée en France à l’âge de 2 ans.
Dépaysant de passer des montagnes à la région parisienne! Quelle place avais-tu dans la famille et comment s'est passée l'intégration en France?
Nous sommes sept frères et soeurs (3 filles et 4 garçons). Je suis l'avant-dernière et aussi la dernière à être née au Kurdistan. Mon petit frère est né en France. On parlait français à l'école, kurde à la maison, et turc avec les voisins, surtout à partir de 12 ans en ce qui me concerne, car on avait beaucoup de voisins turcs. Mon père, ouvrier chez Citroën, parlait turc aussi. Mais maman, ni le turc ni le français. Elle a 80 ans; ça m'arrive encore de traduire pour elle, lors des rendez-vous médicaux et la paperasse.
Et côté études, comment ça s'est passé?
J'ai fait l'école primaire à Garges-lès-Gonesse, le collège à Villiers-le-Bel. Après, j'ai bougé. J'ai passé un diplôme d'études comptables et financières, puis un master d'études supérieures comptables et financières (Bac+5). J'ai été la première à avoir le Bac dans la famille, et la seule à faire des études supérieures. Personne ne m'a poussé à étudier. J'ai étudié par mes propres moyens. J'ai avancé. Plus j'avançais, plus je voulais continuer. Inconsciemment, dans le fait d'être immigrée en France, il y a cette envie de prouver que tu peux réussir, pour ta famille, pour ton entourage, dans ton réseau professionnel. C'est comme ça que ça s'est passé pour moi en tout cas.
Sema en balade au Château de Vaux-le-Vicomte dans le 77./ DR
C'est aussi ce qui t'a poussé à créer ta propre entreprise il y a 14 ans?
Pour moi, c'était une façon de m'affirmer, en tant que féministe et en tant que Kurde. Peut-être même plus en tant que Kurde qu'en tant que féministe. C'est inconscient. Très souvent, les gens ne savent pas qu'on est Kurde en nous regardant. C'était ma façon de sortir de l'ombre. Ça marche bien. Aujourd'hui, nous sommes huit en comptant mon associé et moi.
Et vous avez des employés Franco-Kurdes?
On en a eues. Mais elles nous ont toutes quittés pour se marier. Vous savez, chez les Kurdes, c'est souvent le mari qui subvient aux besoins de la femme. C'est une des raisons pour laquelle la création de Rien K'Elles est une chance selon moi. Cela fait longtemps que je pousse mes filles à apprendre, à se cultiver, à se former. Je suis indépendante et je m'en sors bien. Je leur dis: étudiez, étudiez, étudiez, et ayez un métier en poche.
C'est un des objectifs de Rien K’Elles, l'association dont tu es la trésorière générale ?
Rien K’Elles a été créée pour le droit et le besoin d’émancipation. Si j'ai adhéré à ce projet, c'est parce que j'avais en moi l'envie de montrer que, nous les femmes Kurdes, on est là. On a pu faire des études. On occupe des postes importants grâce à notre travail. A ce titre, on est inspirantes. On veut sortir les femmes brillantes de l'ombre pour les mettre dans la lumière. On a des femmes talentueuses dans tous les domaines. On peut apporter quelque chose dans la vie citoyenne, dans la vie sociale, dans la vie économique. Plus de la moitié, dans les adhérentes, sont déjà entrepreneuses. Donc, on s'investit. On apporte quelque chose à la France. Car on est Française aussi avant tout. Donc, ce qu'on dit aussi en gros c'est... ne nous sous-estimez pas. Je suis aussi convaincue que Rien K’Elles va permettre et peut permettre à beaucoup de femmes de réaliser leurs rêves et leurs projets.
Que t'a apporté l'association depuis sa création fin 2023?
Rien K’Elles m’a déjà apporté beaucoup de choses. L’association m’a permis de me remettre au sport, de courir, d’avoir la volonté, l’envie, grâce au soutien et à la solidarité de nos femmes, dans tous les domaines. Sachant qu’on a des femmes talentueuses et qui ont beaucoup de potentiel. Cela m’a permis d’avoir ce courage d’affronter ce que je n’aimais pas. Et aujourd’hui, le sport est l’essence du bien-être, que ce soit pour le physique ou le mental. Donc, Rien K’Elles m’a déjà apporté ça et va m’apporter encore beaucoup de choses. Je suis persuadée que ce sera le cas pour beaucoup d’entre nous.
Et tout cela peut faire évoluer l'image des Kurdes de France selon toi?
Les Kurdes sont un peu dans la masse. Les gens ne savent pas que nous sommes Kurdes. On ne le montre pas forcément, mais nous sommes très attachés à notre culture. Les marches kurdes servent souvent à rendre hommage à nos morts, car on n'en a eu beaucoup malheureusement avec les génocides, la lutte contre Daesh. Mais à côté de ça, on veut montrer une autre image. On veut dire, effectivement, on est un peuple opprimé, un peuple qui est déraciné. Mais on est aussi un peuple qui investit, qui a beaucoup de qualités. Et on veut que ce soit reconnu tout ça.
Tout à l'heure, tu disais qu'il y avait beaucoup de femmes entrepreneuses à Rien K'Elles. Beaucoup de femmes inspirantes. C'est un message que vous voulez faire passer aux jeunes femmes d'origine Kurde nées en France, aussi ?
Pour nos générations futures, on veut vraiment donner l'exemple, effectivement. Qu'on soit Kurde ou pas, tout le monde sait aujourd'hui qu'on a tous les moyens, les supports, les outils pour pouvoir réussir en France. Mais bon, il faut les utiliser à bon escient. Donc, on peut aider les jeunes de ce point de vue-là par notre exemple. Mais on veut dire également aux jeunes de retourner à nos sources. Car ils sont un peu perdus. Ils ne sont plus dans cette Kurdicité. On veut retourner aux sources car, malheureusement, certains ont une image un peu arriérée de leurs origines. Souvent, ils veulent trop se moderniser et ils s'éloignent de leur culture. Nous, on leur dit voilà, notre culture, c'est une culture riche. On a beaucoup de choses à donner et à apprendre. Restez là-dedans et persévérez dans vos études. On veut trouver cet équilibre pour les générations futures. Leur dire, gardez votre culture, soyez modernes, et avancez comme ça.
N'est-ce pas une façon d'oeuvrer indirectement pour la reconnaissance du Kurdistan?
Bien sûr. C'est pas le but ou l'objet de notre association. Mais, à travers nos actions, ce qu'on va montrer à travers l'exemplarité de certaines de nos femmes, cela peut nous donner un poids qui nous permettra de nous faire entendre. Les Arméniens de France l'ont compris avant nous. Moi, je dis toujours, les Arméniens, sans Charles Aznavour, ils n'auraient jamais été reconnus. Et nous, c'est ce qu'on veut faire. On veut monter en puissance, à travers la culture et bien d'autres domaines, montrer l'exemplarité. Dire, on est là! C'est marrant d'ailleurs, dans la ville où j'habite, il y a beaucoup d'Arméniens qui parlent le turc et certains qui parlent le kurde. Il y a une proximité entre nous, même s'ils sont catholiques. Ils sont très accueillants, très chaleureux, un peu comme les Kurdes.
Quelle est ta devise pour le Kurdistan ?
Tout d’abord un Kurdistan uni, et un Kurdistan libre. J’adore cette phrase de Qazi Muhammad, qui était le président de la République de Mahabad (NDLR : république éphémère qui a subsisté 11 mois en 1946, avant que l’Iran ne fasse tomber le micro Etat kurde et n’exécute Qazi Muhammad le 31 mars 1947), et qui disait 2+2 = 1, un Kurdistan, donc l’union pour le Kurdistan.
En résumé, quel est ton message à la jeune génération ?
Lisez ! Cultivez-vous ! Apprenez ! Ayez des objectifs ! Ayez de la discipline dans ce que vous faites ! Vous irez beaucoup plus vite et plus loin. Et surtout, allez jusqu’au bout de vos rêves.
Que représente la femme kurde pour toi ?
C’est l’image de la résilience. Nos femmes ne sont pas que des combattantes. Ce sont des femmes inspirantes. Ce sont des femmes qui ont du talent. Qui sont ambitieuses. Des femmes qui ont des valeurs solides et des valeurs unies.
La parité, mode d’emploi ?
Pour moi, la parité c’est l’égalité. Surtout l’égalité des sexes.
Ton espoir pour le Kurdistan ?
Un Kurdistan uni. Je suis persuadée qu’avec nos blessures et nos actions, on peut avancer plus vite. J’ai espoir d’un Kurdistan uni. On héberge chacune dans notre cœur un petit Kurdistan. Et on sait qu’un jour, on va le faire vivre ce Kurdistan. Je dis toujours que, « seule, on avance vite. Mais ensemble, unis, on avance beaucoup plus loin ».
Qu’est-ce que tu entends par un Kurdistan uni ?
Un Kurdistan uni des quatre coins du Kurdistan – Baqur, Bashur, Rojava, Rojhelat – uni par sa population. Parce qu’aujourd’hui, malheureusement on a été divisés. Et cette division, elle se fait ressentir à travers les générations, à travers notre histoire. Et aujourd’hui, je reste persuadée que, si on n’a pas un Kurdistan uni, un Kurdistan libre ne sera pas forcément envisageable.
Donc, un Kurdistan entre l’Iran, l’Irak, la Syrie et la Turquie ?
C’est ça. Il y a des coutumes, des cultures, des langues aussi différentes. Le kurde a été un peu assimilé en fonction des pays de naissance ou des pays de résidence. Moi, mon Kurde, j’ai essayé de l’améliorer, le kurmandji. Mais aujourd’hui, ma mère, quand elle parle kurde, elle parle un kurde assimilé, avec beaucoup de mots turcs. Donc, pour retourner à nos origines, si on n’a pas un Kurdistan uni, une langue unique, un Kurdistan libre ne sera pas évident.
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Briser les traditions.
Ce n'est pas nécessairement de ta faute. C'est générationnel. C'est si habituel. Il ne faudrait pas que leur parole, ma parole, notre parole vous touche en mal. Il suffit que l'on s'indigne de la façon dont vous nous parlez ou traitez pour que vous vous sentiez agressés. Vous le ressentez : nous le subissons et le vivons. Depuis toujours. Attention, je ne dis pas que ta vie a été facile. Que la condition d'homme ne t'as pas été dure également parfois, ou qu'elle ne l'est pas aujourd'hui. Le problème, vois-tu, c'est que dès qu'on parle de nous, de notre volonté d'être à égalité avec vous ou de ce que les hommes, des hommes, nous ont fait endurer, vous ramenez toujours tout à vous. Vous perpétuez la malédiction que vous nous infligez depuis la nuit des temps. Si une femme parle ou agit, elle sera moquée, humiliée, rabaissée, dévalorisée, agressée, violée ou tuée. Peut-être pas tout à la fois, certes. Mais c'est une réalité. Nous ne sommes vos égaux en rien à vos yeux et c'est vrai. Mais c'est pour ça que le féminisme existe. Il n'aurait pas lieu d'être si vous nous aviez traitées autrement. Alors ce n'est certes pas ta faute à toi seul, peut-être même que tu luttes aussi pour que nous soyons écoutées, respectées, obtenions justice, ayons les mêmes droits que vous, et je passe le reste. Si tu fais tout ça et que tu es toi-même quelqu'un de bien, je ne te reproche rien. Personne n'est parfait. Ni les femmes, ni les hommes. Ni toi, ni moi. Mais ce n'est pas une raison pour trainer dans la boue ceux que nous ne jugeons pas assez biens, ou inférieurs. Je parle des femmes, mais tant de causes existent. La cause LGBT, les personnes handicapées, racisées, et tant d'autres groupes d'individus sont importants, comptent, mais ne sont pas à égalité avec d'autres catégories. Les hétérosexuels, les personnes cisgenres, binaires, ceux qui ne présentent aucun handicap, les blancs... J'ai toujours eu envie de parler au nom de tous les opprimés, de tous ceux qui vivent l'injustice depuis leur naissance, pour des raisons qu'ils n'ont pas choisies. Je vais même te dire : j'ai très longtemps pensé que j'aurai préféré être un homme, si j'avais eu le choix. Mais je ne changerai ce que j'ai pour rien au monde. Je suis fière d'être une femme. Je suis fière de coucher mes pensées sur le papier ou dans la toile. Je suis fière de pouvoir prendre la parole pour défendre cette cause. L'injustice n'a pas lieu d'être. Celui qui fait contribue à faire embraser la société et l'autre qui le regarde faire sans rien dire, ce sont eux nos ennemis. Que tu agisses contre nous ou ne fasse rien, c'est presque pareil. Sa place, on se la choisit.
"Si nous sommes sans colère quand nous voyons les autres bafoués, exploités, humiliés, il est clair que nous ne les aimons pas." Abbé Pierre
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La marche pèlerine | Société | Univ Laval | Nouvelles | 20 mai 2021
«Dans mes travaux sur le phénomène pèlerin au Québec, j’ai répertorié une trentaine de parcours de longue ou de courte durée, explique Michel O’Neill. J’ai estimé qu’entre 1999 et 2019, ces parcours avaient attiré un total d’environ 16 000 personnes. L’intérêt québécois pour la marche pèlerine s’inscrit dans un mouvement planétaire qui a eu, comme point de départ, le succès fulgurant des chemins de Compostelle depuis une quarantaine d’années. » (...)
Ses observations portent notamment sur le genre et l’âge de ceux et celles qui font Compostelle. Ainsi, en 2019, l’ensemble des marcheurs se subdivisaient presque à égalité entre hommes (48,8%) et femmes (51,2%). Chez les marcheurs québécois, en revanche, les femmes étaient nettement majoritaires cette année-là, soit 61,2% contre 38,8% d’hommes.
« La féminisation du pèlerinage vers Compostelle est une tendance lourde, à l’avant-garde de laquelle le Québec s’est toujours situé », a!irme Michel O’Neill.
Selon lui, une autre tendance lourde s’est affirmée, soit un certain vieillissement des marcheurs, et ce, autant dans l’ensemble des pèlerins que chez les participants québécois.
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